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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 11:49

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Le bourg de Batz debout sur les marais

Le Croizic tout au bout du grand trait

Sous les veilleurs, les souvenirs m'attendent

Et l'enfance en moi comme un matin.


Gilles Servat "Le moulin de Guérande"

 

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Les marais salants de Guérande à l'automne : un paradis pour les oiseaux ! 

 

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Des mouettes rêveuses...

 

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... ou farouches !

 

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 16:07

Pour tous, c'est bien Cambronne qui prononça le "mot de Cambronne", à Waterloo, le 18 juin 1815.

Et d'ailleurs "merde" ça a quand même une autre allure que le banal "la garde meurt et ne se rend pas" !

Et pourtant, il semble bien que le pauvre Pierre Cambronne ne soit qu'un usurpateur....

D'ailleurs, toute sa vie, il a nié avoir prononcé un tel mot...

 

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Preuve en est que sur sa statue nantaise, c'est bien la formule classique qui figure, et non l'horrible mot !

 

D'ailleurs, d'après Bleimor, c'est à dire le célèbre Jean Pierre Calloc'h, le premier "merde" a été prononcé en 1808, soit 7 ans avant Waterloo !

Du moins, ce sont ces propos que rapporta Michel Goulletquer...

 

En effet, le 22 mars 1808, 2 frégates retour de Martinique, sont encalminées dans les coureaux de Groix, face à une division navale anglaise de 6 navires. La Sirène (36 canons), commandant Victor-Guy Duperré, est attaquée par un vaisseau anglais de 74 et une frégate de 36 ; "amène ou je te coule" lui crie l'anglais ; certains prétendent que Duperré lui répondit : "coule, je n’amène pas" ou plutôt le célèbre « merde » qui serait donc le mot de Duperré et non celui de Cambronne... Toujours est-il que la Sirène réussit  à se réfugier sous la batterie La Croix à Groix, où l'anglais n'osa le suivre, pour réparer puis regagner Lorient !

 

Alors, qui croire ?

 

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 17:24

A l'occasion de l'escale à Groix de la Route de l'Amitié, en août 2011, quelques photos de vieux gréements.

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Focs endraillés "à l'ancienne", poulies, bout-dehors, rien que de la vieille marine ...

 

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 17:33

Quelques images prises au mois d'août 2011, lors de l'escale à Groix de la Route de l'amitié.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 15:03

Les thoniers ont disparu à Groix. Les derniers ont arrêté la pêche au thon germon vers 1955.

Parmi ces derniers magnifiques voiliers, il y avait l'Union du Travail. qui faisait partie des derniers navires construits aux Sables d'Olonne, sur des plans de Théodule Cahueau, au chantier "Union et Travail".

Ce chantier, ouvert en 1922, a construit les derniers et les plus beaux dundees  groisillons : ses navires ont en effet remporté 11 des 14 régates des thoniers organises à Groix de 1933 à 1952 !

Ces navires, dont les plans avaient été modifiés à la suite de la terrible tempête de 1930 (qui vit disparaître 27 dundees et 203 marins en Bretagne sud), sont sans doute les plus beaux, les plus grands et les plus marins de cette longue lignée des thoniers dundees, ou côtres à tape-cul, apparus en 1883.

Il ne reste rien de ces magnifiques voiliers, sauf des épaves au fond des vasières, des ex-votos à Grois ou ailleurs.

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Heureusement, l'un d'entre eux, le Biche, est actuellement en restauration à Lorient grâce à l'Association "Les amis du Biche" et au chantier du Guip.

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  Epaves à Etel.

 

 

th4Le Biche entrant à Concarneau.

 

 

Le thonier Union du Travail , GX3589, a été construit en 1931 pour Gildas Penhoët de Locmaria ; il a été dépecé en 1953.

 

Il n'en reste que quelques pièces d'accastillage, des morceaux de voile, un ex-voto à la chapelle Notre Dame de Pitié à Guidel.

 

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Voile de l'Union du travail faite par le voilier Le Grel (photographie Alain Roupie)

 

 

 

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L'Union du Travail, ex-voto à la chapelle ND de Pitié à Guidel

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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 17:25

S'il est une chose fascinante dans les latitudes sub-antarctiques, c'est bien les oiseaux : ils sont nombreux, curieux et peu farouches (ils ne sont pas chassés et ne craignent pas l'homme).

Leurs espèces sont innombrables, mais , indiscutablement, les plus beaux sont les albatros !

 

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Albatros géant volant au ras des vagues.

 

 

L'albatros géant ou hurleur (Diomedea exulans) mesure de 2m50 à 3m50, pèse 6 à 11kg, un monstre, avec un petit œil rond attentif et « bienveillant », un peu le roi et l’oiseau ! Il vit en haute mer, ne revenant à terre que pour nicher ; il se nourrit de calmars ou de poissons pêchés en surface ; il peut aller pêcher jusqu’à 3200 km du nid, parcourant des distances énormes uniquement en planant (en l’absence de vent, il vole peu et se pose sur la mer ; il vit au moins 60 ans, est strictement monogame (après de longues et spectaculaires parades nuptiales). C’est le seigneur de ces mers, majestueux, impérial, frôlant la vague, piquant au ciel, plongeant vers la surface, sans un seul coup d’aile.

 

 

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Albatros à sourcils noirs: on dirait Horus nous regardant, pauvres mortels, avec le sourcil froncé...

 

 

Plus fréquent, presque aussi beau, l’albatros à sourcils noirs (Diomedea melanorphis) est un peu plus petit ; une zone sombre entoure l’œil, dessinant un sourcil froncé caractéristique, lui donnant un air perpétuellement coléreux et sévère, tel Horus ; dans les zones subantarctiques, ils sont particulièrement communs, mais on en voit, essentiellement des juvéniles, au large du Brésil.

 

 

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Albatros fuligineux, plus petit mais, pour moi, l'un des plus beaux !

 

 

Peut-être le plus beau, pour moi, reste l’albatros fuligineux (Phoebetria palpebrata), plus rare, plus petit mais à la magnifique couleur gris sombre avec un dos cendré ; il présente un cercle péri orbitaire blanc qui lui donne une allure d’yeux bleu clair ; il a une allure particulièrement gracieuse en vol !


 

 

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L'air beaucoup moins sympathique, un pétrel géant, vrai charognard des mers !

 

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Encore un albatros à sourcils noirs

 

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Et vraiment impéroal, encore un albatros géant.

 

 

Les oiseaux marins étaient en danger dans les zones subantarctiques. La cause en était essentiellement la pêche, en particulier à la légine ; le chalut, particulièrement meurtrier pour les oiseaux a été remplacé par la palangre, mais cette dernière reste dangereuse pour les oiseaux qui sont attirés par les appâts et meurent noyés au filage de la ligne ; pour cette raison une réglementation oblige à ne filer les palangres que la nuit et à embarquer un contrôleur des pêches, ce qui ne résout bien entendu pas les dégâts liés à la pêche illicite (une estimation faite la CCAMLR parlait de 19400 à 46200 oiseaux tués en 2000-2001 par les navires « illicites » ; une autre estimation parlait de 50.000 oiseaux ; Greenpeace parlait de 300.000 oiseaux tués en 4 ans, 15% des morts de certaines populations d’albatros étant liés aux pêcheurs illicites). A l’heure actuelle, du fait de la pression exercée par la marine nationale, les navires « pirates » ont quasiment disparu et ces espèces menacées (particulièrement l’albatros d’Amsterdam) se repeuplent.

 

IGP1745Un damier du Cap, "petit" oiseau de 85 cm d'envergure, battant élégamment des ailes, au corps bariolé de blanc et de noir, dessinant un véritable damier...

 

IGP9825 modifié-1Un pétrel à menton blanc

 

IGP9509 modifié-1Un goéland dominicain près de Crozet

 

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Et toujours le plus majestueux de tous... !

 

 

Le 22 septembre 1887, un albatros, épuisé, est découvert sur la plage de Fremantle (côte occidentale de l’Australie). A son cou, une plaque de fer blanc avec, gravés, ces mots : « Treize naufragés français sont réfugiés à Crozet, 4 août » : 49 jours après, l’albatros a livré son message à 5500 km de là ! La Meurthe, basée à Madagascar, est prévenue et quitte la grande île le 18 novembre 1887 et arrive à l’Ile des Cochons le 1erdécembre 1887 où elle découvre un message des survivants du Tamaris(naufragé le 9 mars 1887), disant qu’ils ont quitté cette île en essayant de rejoindre l’Ile de la Possession. Ils ne seront jamais retrouvés. Ce que l’albatros avait fait en 49 jours aura été effectué par les différents moyens de communication de l’époque puis par l’aviso français en 70 jours ! Un timbre édité par les TAAF en 1994 a remémoré l’histoire du Tamaris, de son naufrage et de l’albatros porteur de SOS…

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 09:32

L'archipel des Kerguelen, grand comme la Corse, situé entre 48° et 49° sud, à 3400km de la Réunion, découvert par Pierre-Joseph de Kerguelen de Trémarec, fut baptisé par James Cook "iles de la Désolation".

 

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Arrivée du Marion Dufresne par mauvais temps en vue des Kerguelen.

 

 

Que penser d'ailleurs de Kerguelen, découvreur d’une île qui portera son nom, sur laquelle il n’a jamais débarqué et dont la découverte et les circonstances qui l’ont entourée le conduiront de la gloire de Versailles aux geôles de Brest. En effet, c’est le 12 février 1772 que Kerguelen, sur la Fortune, accompagné du Gros ventre, va entrapercevoir une île, qu’il va baptiser Ile de la Fortune, puis le lendemain ce qu’il prendra pour la grande terre, le continent austral ; il ne débarque pas mais la reconnaissance, des plus brèves du fait du mauvais temps est faite par le second du Gros Ventre, De Boiguehenneuc ; la prise de possession au nom du roi de France y est alors effectuée (cairn et bouteille contenant un message). Fortuneet Gros ventresont séparés par la tempête et Kerguelen rentre seul. Son accueil en France, à Versailles est triomphal et en fait un nouveau Christophe Colomb, découvreur de l’« Australasie », de la « France Australe ». Il prépare un second voyage, au cours duquel il retrouve en 1773 ce que Cook appellera plus tard, en 1776, les Iles de la Désolation. A son retour, il est incarcéré puis jugé pour avoir embarqué des femmes à bord, pour s’être grossièrement trompé sur cette soit disant « Australasie », sans doute aussi pour avoir abandonné le Gros Ventre à son sort (ce dernier, après l’avoir attendu vainement, regagne la Tasmanie puis la France, juste avant le second départ de Kerguelen.

 

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Le commandant observe le mouillage devant la base de Port aux français.

 

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Mouillage peu abrité : débarquement et rembarquement en zodiac sont difficiles...

 

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Le Marion Dufresne au mouillage dans le Golfe du Morbihan.

Le temps se gâte...

 

IGP0129La barge L'Aventure assure la liaison avec la base de Port aux Français

 

Les Kerguelen sont rattachées aux TAAF depuis 1955. Le premier hivernage sur la base de Port aux Français date de 1951.

Actuellement, la base abrite 120 personnes surant les campagnes d'été, 50 personnes durant l'hivernage.

 

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Même par beau temps, les Iles de la Désolation méritent bien leur nom...

 

IGP0157On repart pour la Réunion !

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 09:42

Quelques images d'une mission dans les zones subantarctiques à bord du N/O Marion Dufresne  : navire océanographique, cargo et pétrolier ravitailleur pour les terres australes, paquebot transportant les hivernants de Crozet, de Kerguelen, d'Amsterdam, parfois même quelques touristes, c'est un baroudeur du grand sud, mais aussi de toutes les mers du globe !

Parti de la Réunion, il descend vers l'archipel des Crozet.

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Arrivé à Crozet au matin : en vue de l'île de l'Est 


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Un cachalot sonde pour saluer notre arrivée

 

Lorsque, le 13 janvier 1772, Marc-Joseph Marion Dufresne et son second, Julien Crozet, à bord du Mascarin, découvrent une terre, ils pensent qu’il s’agit là d’une avancée de ce fameux continent antarctique, la "terra australis incognita" que Bougainville ne découvrit jamais, escale de rêve sur la route des épices ; c’est l’enthousiasme. Malheureusement, ce n’est qu’un archipel et deux îles sont baptisées Ile de l’Espérance et Ile de la Caverne (aujourd’hui sud africaines sous les noms d’Ile Marion et Ile du Prince Edouard). Le 22 janvier, ils découvrent les Iles Froides (Ile aux Cochons, Ilot des Apôtres, Ile des Pingouins), puis l’Ile de la Prise de Possession. Crozet débarque pour élever un cairn avec une bouteille contenant un parchemin marquant la prise de possession française dans l’actuelle baie Américaine ; ils mouillent ensuite dans l’actuelle baie du Marin, sur ce qui est aujourd’hui l’Ile de la Possession de l’archipel des Crozet ; ils font le tour de l’Ile Aride (actuelle Ile de l’Est). Ils remontent ensuite vers la Tasmanie puis la Nouvelle Zélande. Marion Dufresne est tué puis dévoré par des Maoris (après avoir involontairement profané un arbre sacré) dans la baie des Iles, le 12 juin 1772.

Au XIXème siècle, l'archipel des Crozet a servi de base aux baleiniers et aux chasseurs de phoques.

La souverainet de la France a été affirmée en 1923 et l'archipel est administré par les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises) depuis 1955.

Actuellement, Crozet abrite une mission permanente, depuis 1963, sur l'île de la Possession : la base scientifique Alfred Faure (nom du chef de la première mission) abrite 22 personnes l'hiver, 30 l'été.


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Le Marion Dufresne au mouillage devant la baie du Marin, sur l'île de la Possession

On débarque au milieu de la grande manchotière : des milliers de manchots royaux y vivent, couvent les oeufs, nourrissent les petits. 

 

 

 

Quoi de plus « littéraire » que ces manchots ? Anatole France l’avait déjà bien compris lorsqu’il écrivait « L’île des pingouins » : « Nous appelons pingouin, en français, un oiseau des régions arctiques appartenant à la famille des alcidés ; nous appelons manchot le type des sphéniscidés habitant les mers antarctiques. Ainsi fait, par exemple, M. G. Lecointe dans sa relation du voyage de la Belgica : « De tous les oiseaux qui peuplent le détroit de Gerlache, dit-il, les manchots sont certes les plus intéressants. Ils sont parfois désignés, mais improprement, sous le nom de pingouins du sud. » Le docteur J.-B. Charcot affirme au contraire que les seuls et les vrais pingouins sont ces oiseaux de l’antarctique que nous appelons manchots, et il donne pour raison qu’ils reçurent des Hollandais, parvenus, en 1598, au cap Magellan, le nom de pinguinos, à cause sans doute de leur graisse. Mais si les manchots s’appellent pingouins, comment s’appelleront désormais les pingouins ? Le docteur J.B. Charcot ne nous le dit pas et il n’a pas l’air de s’en inquiéter le moins du monde. » Et plus loin : « Entre mes pingouins et ceux de M. J.-B. Charcot, quelles que soient les dissemblances, les ressemblances apparaissent plus nombreuses et plus profondes. Ceux-ci comme ceux-là se font remarquer par un air grave et placide, une dignité comique, une familiarité confiante, une bonhomie narquoise, des façons à la fois gauches et solennelles. Les uns et les autres sont pacifiques, abondants en discours, avides de spectacles, occupés des affaires publiques et, peut-être, un peu jaloux des supériorités. » Ou encore : « Or, ce qu’il avait pris pour des hommes de petite taille, mais d’une allure grave, c’étaient des pingouins que réunissait le printemps, et qui se tenaient rangés par couples sur les degrés naturels de la roche, debout dans la majesté de leur gros ventre blanc. Par moments ils agitaient comme des bras leurs ailerons et poussaient des cris pacifiques. Ils ne craignaient point les hommes, parce qu’ils ne les connaissaient pas et n’en avaient jamais reçu d’offense … »

 

 

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Un manchot royal nage le long du bateau.

 

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Un "petit" manchot, encore couvert de son duvet, est nourri par sa mère, au milieu de la manchotière.

 

Le manchot de Crozet, comme celui de Kerguelen, est un manchot royal : 90cm de haut, vrai petit bonhomme, pesant, adulte, 13kg, il plonge jusqu’à 300 ou 400m de profondeur, jusqu’à près de 100 fois par jour, en apnée pendant 6 à 7 minutes ; il peut aller chercher sa nourriture jusqu’à 300 km de sa colonie ; 600000 couples sont abrités sur les îles subantarctiques, malgré skuas, pétrels géants, orques, lions marins ou léopards de mer qui ne demandent qu’à les dévorer ! Ce sont des oiseaux dont les ailles se sont atrophiées, couverts d’une association de plumes, de duvets et d’écailles. Ils vivent en couple, le père et la mère partant pour de longues virées chercher la nourriture, cependant que l’autre couve ou veille le « petit dernier » ; dans les plus grandes colonies, ils se retrouvent comme par miracle, au premier cri, au milieu de milliers de leurs collègues. Le « petit » manchot, gros bibendum, un peu ridicule, est recouvert d’un duvet marron parfaitement laid qu’il perd progressivement à l’âge de un an.


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Une promenade à trois sur la plage... : une allure de garçon de café de l'ancien temps, d'un sérieux imperturbable, se  dandinant avec dignité !

 

 


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Tout n'est pas rose sur la manchotière : les pétrels géants et les skuas se disputent la carcasse d'un manchot royal...

 

IGP9580Mais pendant ce temps là, "bébé" a toujours faim !

 


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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 10:51

Une promenade au coucher du soleil près de Locmaria...

Heureusement, Pentax était là....!

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31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 18:56

Parmi toutes les maisons groisillonnes décorées, les cafés , nombreux, occupent une place importante.

Bien souvent, ils étaient signalés par leur nom et par la présence, sur la façade, d'une grappe de raisin.

 

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Grappe de raisin décorant l'entrée du café du Clocher à Locmaria

 

 

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Le café des Blei Mor au bourg. 


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Le Cinquante, derrière l'église du bourg. Aujourd'hui transformé en restaurant, il a gardé sa décoration d'origine (avec les grappes de raisin), même si le nom n'est plus écrit comme initialement.


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La grappe de raisin du Cinquante

 

 

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Juste à côté, une créperie occupe une ancienne maison ; la décoration utilisait des fleurs particulièrement décoratives.


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  Une fleur

 

 

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Le café du Clocher à Locmaria.

 

 

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